Barbara HUTTON - Lot 260

Lot 260
Aller au lot
Estimation :
20000 - 30000 EUR
Résultats sans frais
Résultat : 25 000EUR
Barbara HUTTON - Lot 260
Barbara HUTTON Dans les années 30, Barbara HUTTON fut, d'une certaine façon, une impératrice de l'Extrême-Orient. Jeune, elle étudie l'art chinois et se passionne pour les bijoux indiens, dont elle achètera de splendides exemplaires. Quand elle arrive à Shangaï en 1934, elle acquiert des dizaines de bijoux en jadéite, dont un bracelet ayant appartenu à l'impératrice douairière CIXI (1835-1908). Dans la même ville, son homologue millionnaire HUI LAN KOO (Mme Wellington KOO) venait de s'offrir le "Poivron persan'' pour un million de dollars. C'était le plus extraordinaire pendentif de jade jamais taillé, offert au XVIIIe siècle par l'empereur QIANLONG lui-même à sa favorite, Xiang Fei. Dans les années 30, la jadéite (fei cui en chinois) est à la mode. Barbara en est l'une des meilleures ambassadrices, aidée en cela par son ami Louis CARTIER. A cette époque, elle a déjà constitué l'une des plus fabuleuses collections de bijoux au monde. Elle finira par acquérir entre autres, le collier de perles de Marie-Antoinette, le collier d'émeraudes de Catherine de Russie et celui en rubis de la Reine Amélie du Portugal, une tiare des ROMANOV, le diamant Pasha de 40 carats? Elle côtoya entre autres célébrités, Maurice CHEVALIER, George V d'Angleterre, le duc de WINDSOR et Wallis SIMPSON (elle-même grande amatrice de jade chinois), KENNEDY, Cary GRANT qui fut l'un de ses maris. Le fabuleux collier de 27 perles de jadéite de cinquante mille dollars qu'elle portait en 1933 au Metropolitan Opera de New-York, provenait lui aussi des collections impériales chinoises. Après sa mort, ce collier sera adjugé 4,3 millions de dollars par Christie's Hong Kong en 1994. Ce sera le bijou de jade le plus cher jamais vendu. Un Sarpech en or fin (24K) figurant un grand cobra royal, serti de dix-neuf diamants, de douze rubis en cabochons, dont deux en pampilles, ainsi que d'une émeraude. L'envers présente plusieurs épingles pour le fixer sur un turban. Travail indien XIXe siècle pour le motif de devant, la coque a
Mes ordres d'achat
Informations sur la vente
Conditions de vente
Retourner au catalogue