Lot n° 212
Estimation :
300 - 350
EUR
LOUISE, princesse d'Orléans, infante d'Espagne (1882-1958). - Lot 212
LOUISE, princesse d'Orléans, infante d'Espagne (1882-1958). Lot de 8 L.A.S.: «Louise», adressées à sa cousine, Marie d'Orléans, princesse de Danemark (1865-1909), datant du 25 août 1885 au 23 janvier 1902, certaines lettres sont conservées avec leur enveloppe et sont à en-tête de son monogramme, du château de Randan et du Palacio de Villamanrique. Texte en français. Elle fait allusion dans l'une de ses lettres à l'annonce du mariage de Marie avec Valdemar de Danemark - 1885 - «Tu as bien raison de dire que je t'aime bien et c'est vraiment de tout coeur que je viens te féliciter de la bonne nouvelle que tu m'apprends et qui me fait grand plaisir. Je m'associe à toutes vos joies et te souhaite tout le bonheur possible...» - 1899 - «... Je suis contente de trouver une occasion pour te dire comme j'ai été heureuse de revoir au mariage d'Isabelle. Tu as été bien bonne pour moi à ce moment et je t'en remercie...» - 1900 - «...Je prend part à ton chagrin, car le cher Oncle Joinville a toujours été si bon pour nous. Il est inutile de dire combien il sera regretté. Je suis vraiment désolée de ne pouvoir aller à Dreux avec le reste de la famille afin de priez pour celui que nous venons de perdre...» - 1901, Randan - «...J'étais vraiment folle de joie de me retrouver ici avec Isabelle et Jean (duc et duchesse de Guise) que j'aime tant, de plus Hélène est venue passer quelques jours ici, malheureusement trop courts après 2 ans de séparations (c'est-à-dire depuis sa dernière visite ici). J'aurais voulu mieux te dire combien je t'aime...» - «Le malheur qui nous frappe est vraiment affreux, je veux te dire combien j'y prends part car c'est une grande perte pour toute notre famille. Les circonstances ont vraiment été terribles: se sentir si loin d'une personne qui vous est chère et qui souffre. Il faut prier pour l'âme de ce pauvre Henri (frère de la princesse Marie, mort de la fièvre jaune à Saigon, le 9 août 1901) et pour ceux qu'il a laissé, on n'a que la consolation de penser q
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