FRANCOISE, duchesse de Chartres, née princesse d'Orléans (18 - Lot 154

Lot 154
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Estimation :
1500 - 2000 EUR
FRANCOISE, duchesse de Chartres, née princesse d'Orléans (18 - Lot 154
FRANCOISE, duchesse de Chartres, née princesse d'Orléans (1844-1925). Lot de 47 L.A.S.: «F. O.», adressées à sa fille, Marie d'Orléans, princesse de Danemark (1865-1909), in-8, datant de 1895 à 1896, certaines lettres sont conservées avec leur enveloppe et bordées de noir. Texte en français. - St Firmin, le 18 janvier 1895: «Oncle Aumale est guéri, nous avons dîné au château avant-hier et hier il a paru à l'hallali du sanglier en voiture et a donné à Bon Papa un de ses jours de chevreuil. - St Firmin, le 25 janvier 1895: «...l'oncle Aumale ayant offert un jour de ses petits chiens attaque, dans un petit bois de Montgresin, ventre à terre, débuché, rentre en forêt de Chantilly redébuché.» - St Firmin, le 10 février 1895: «Je suis sûre que maintenant que tu vas bien, tu te trouveras le temps de t'occuper et je suis curieuse de savoir quelles inventions tu auras. Tu me manques beaucoup et nous nous comprenons si bien dans le feu de nos idées de peinture.» - Paris, le 5 mars 1895: «Le Bi a commencé l'hydrothérapie, je crois que cela lui fera grand bien. Nous avons de petits d'amis, j'ai eu un sustout de jacinthes plantés dans de la mousse dans la sustout et à St Firmin j'en avais eu un charmant en déposant dans une jardinière un vase plat de porcelaine.» - Paris, le 15 mars 1895: «J'oubliais; Boumat y a fait une belle fête à la plume d'oncle Aumale. Nous sommes dans un ahurissement peu de mon goût. Avant-hier, chasse très jolie, nous avons pris un cerf sur la glace aux étangs, c'était très émouvant et excitant, heureusement les chiens n'ont eu aucun mal. Le soir dîner au château. Tante Paris va bien, elle est très calme et très bonne, ne pense guère qu'aux arrangements de Randan ou elle vie cet été. Elle m'a beaucoup demandée de tes nouvelles.» - St Firmin, le 24 mai 1896: «...excellentes nouvelles du Bi et de Patrice de Tunisie, ils paraissent très contents, reviennent par Constantine et seront de retour, je pense, dans les premiers jours de Juin; je ne cesse de remerc
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