FRANCOISE, duchesse de Chartres, née princesse d'Orléans (18 - Lot 149

Lot 149
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Estimation :
1500 - 2000 EUR
FRANCOISE, duchesse de Chartres, née princesse d'Orléans (18 - Lot 149
FRANCOISE, duchesse de Chartres, née princesse d'Orléans (1844-1925). Lot de 41 L.A.S.: «F. O.», adressées à sa fille, Marie d'Orléans, princesse de Danemark (1865-1909), in-8, datant de 1892 à 1894, certaines lettres sont conservées avec leur enveloppe et bordées de noir. Texte en français. - Paris, le 15 janvier 1892: «...j'ai tant pensé à toi, à Valdemar, au Roi et à la Reine en apprenant cette triste nouvelle de la mort du pauvre Duc de (?), quel malheur affreux, comme ses parents sont touchés et sa pauvre fiancée, cette circonstance rend encore plus terrible cette mort. Je suis sur que Valdemar est très malheureux de la douleur de sa soeur.» - Cannes, le 28 février 1892: «J'ai de très bonnes nouvelles de Papa d'Irlande ou il paraît chasser et s'amuser beaucoup des très bonnes lettres d'Henri du 21 janvier d'Hanoï partant pour son expédition, très intéressé et charmé de l'accueil qu'il a reçu au Toukin.» - Cannes, le 27 mars 1892: «Nous avons été, hier, voir les pauvres Prince et Princesse de Galles au Cap Martin près de Menton, ils sont très courageux et résignés. La pauvre Princesse dit qu'elle ne peut croire à son malheur, elle est si touchante. Je crois que le plaisir de ses filles et de son fils d'être dans le midi et le changement lui feront du bien. Le Prince de Galles à l'air si triste, le Prince Georges a bonne mine, il est vraiment très agréable et un air bon et franc.» - Cannes, le 3 mai 1892: «Nous avons en ce moment, ici chez nous, la tante Clémentine et l'oncle Philippe, excellents tous les deux; ils ont beaucoup demandé de tes nouvelles. Oncle Ferdinand est avec eux à Nice, aujourd'hui pour les noces d'or du Duc de Cobourg pour célébrer le 50ème anniversaire de son bonheur conjugal et de celui de la Duchesse...je pense voir oncle Ferdinand un de ces jours, ce sera intéressant, on dit qu'il a beaucoup changé en bien...» - Paris, le 3 janvier 1893: «Je pense tant à toi et à Valdemar en sachant le pauvre Aage si souffrant et je comprends tellement à
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